Happy birthday to me

Samedi, c’était mon anniversaire.

Mes 25 ans. Un quart de siècle. Le tiers de ma vie, grosso modo (option basse, j’aimerais tenir plus longtemps et devenir une petite vieille infâme, mais bon, on ne fait pas toujours ce qu’on veut hélas).

 

Pour la première fois de ma vie (mais sans doute pas la dernière), je ne passais pas mon anniversaire en France. Rien de grave là-dedans : je ne suis pas très à cheval sur les célébrations et les dates anniversaires, et on ne meurt pas de ne pas faire la fête avec ses amis et sa famille.

 

Mais quand même, en ce jour un peu spécial, j’ai eu une pensée pour vous tous, vous les potes, vous les parents, les frères et sœurs, les oncles et tantes, vous qui passez par là et qui me lisez, et aussi pour ceux qui ne me lisent pas mais à qui je pardonne !

 

J’ai repensé aux anniversaires à la maison (oui je sais, aujourd’hui, la maison, c’est ici, mais cette appellation reste pour toujours liée au lieu ou réside ma petite famille, mon foyer quoi). J’ai repensé aux folles fêtes parisiennes.

Cela ne m’a pas rendue triste, j’ai juste pu savourer la chance que j’ai eue jusqu’à aujourd’hui.

 

Je suis un peu loin, les gens, mais je vous aime et je pense beaucoup à vous !

 

PS. Je me rends compte que cette note est un peu sentimentale, mais que voulez-vous, je prends de l’âge !

PS2. J’omets, et c’est mal, de dire que Laure a fait l’effort de se déplacer de Cambridge-city jusqu’à Penicuik-town, pour que je ne sois pas entourée seulement de britanniques en ce jour J. Merci mille fois a elle, encore, d’avoir fait ca (surtout que RIEN ne s’est passé comme prévu, évidemment). En plus elle a eu la chance de rencontrer beau-papa, belle-maman ET beau-fils. La veinarde.